À l’époque où Georges Bernier, alias le professeur Choron, en était encore le directeur de la publication, Hara-Kiri et l’Hebdo Hara-Kiri-Charlie-Hebdo poussaient le bouchon de la liberté d’expression et de l’humour (noir) un peu plus loin que ne le font aujourd’hui les journaux satiriques ou humoristiques.